Robert Doisneau
Robert Doisneau...
Depuis que je suis toute petite, trône fièrement dans ma cuisine, la photo préférée de mon papa, "Un musicien sous la pluie" de Robert Doisneau. J'ai toujours voulu en savoir plus sur ce photographe de talent, dont une des œuvres m'accompagne depuis ma plus tendre enfance. D'ailleurs, je crois qu'il est un de mes photographe favori, maintenant.
Depuis que je suis toute petite, trône fièrement dans ma cuisine, la photo préférée de mon papa, "Un musicien sous la pluie" de Robert Doisneau. J'ai toujours voulu en savoir plus sur ce photographe de talent, dont une des œuvres m'accompagne depuis ma plus tendre enfance. D'ailleurs, je crois qu'il est un de mes photographe favori, maintenant.
Mais qui est-il ?
En bref
Robert Doisneau est né le 14 avril 1912 à Gentilly dans le Val-de-Marne et est mort à l'age de 81 ans, le 1er avril 1994 à Montrouge en Hauts de Seine. Il fût un des photographes français les plus populaires et laisse derrière lui un bon nombre de photographies dont une des plus célèbre est "le Baiser de l’Hôtel de Ville".
Il
a reçu trois prix notables qui sont : le "Prix Kodak" en 1947, le "Prix
Niepce" en 1956 et le "Grand Prix national de la photographie" en 1983.
Sa vie, son œuvre
A 15 ans, il apprend le métier de graveur lithographe à
l'école Estienne et entre dans la vie active en dessinant des
étiquettes pharmaceutiques.
C'est chez André Vigneau, dont il
devient le jeune opérateur en 1931, qu'il découvre le monde de la
création artistique, pour qui il vivra désormais. Il passe quatre années au service
publicité des usines Renault mais est vite renvoyé au cause de retards répétitifs, ce qui lui permet, tout de même, d'accéder au statut de photographe
indépendant.
La guerre éclate alors mettant un frein brutal à ses projets. Dans
l'euphorie des années d'après-guerre, bien qu'il soit quotidiennement
soumis à la commande pour des raisons matérielles, il accumule les
images qui feront son succès, circulant obstinément « là où il n'y a
rien à voir », privilégiant les moments furtifs, les bonheurs minuscules
éclairés par les rayons du soleil sur le bitume des villes.
Quand il meurt en avril 1994, il laisse derrière lui environ 450 000 négatifs qui racontent son époque avec un amusement tendre et bienveillant qui ne doit toutefois pas masquer la profondeur de la réflexion, la réelle insolence face au pouvoir et à l'autorité et l'irréductible esprit d'indépendance.
Quand il meurt en avril 1994, il laisse derrière lui environ 450 000 négatifs qui racontent son époque avec un amusement tendre et bienveillant qui ne doit toutefois pas masquer la profondeur de la réflexion, la réelle insolence face au pouvoir et à l'autorité et l'irréductible esprit d'indépendance.
«Toute ma vie je me suis amusé, je me suis fabriqué mon petit théâtre.»
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